« LES #GUEUX » – France’s ‘Forgotten Ones’ Rise Against Soaring Electricity Bills

Paris, July 14, 2025 – « LES #GUEUX » – France’s ‘Forgotten Ones’ Rise Against Soaring Electricity Bills

A new  movement, LES#GUEUX – an old French term meaning “the destitute, the neglected, the voiceless” – has been launched in France to denounce what it calls a massive electricity cost explosion driven by the government’s latest energy plan.

Backed by the Fédération Environnement Durable (FED) and prominent experts such as André Merlin (founder of RTE), Henri Proglio (former EDF CEO), and Louis Gallois (ex-Airbus and SNCF CEO),and Xavier Moreno (CEREME CEO)  the movement warns that the government’s Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE3) could double household electricity bills, from €1,500 to €3,000 per year.

The plan includes 20,000 new wind turbines, more than 30 offshore parks, and a fivefold expansion of solar power, costing taxpayers €300 billion.

“This is economic sabotage,” say supporters of the movement.
Small businesses are already suffering: a typical bakery now pays €12,000 per year, up 100% in three years. Transporters, farmers, fishermen, and shop owners are facing the same fate.


The movement LES #GUEUX was initiated by Alexandre Jardin, who previously led the successful campaign against Low Emission Zones (ZFE), forcing the government to backtrack.
Today, LES #GUEUX stands as the voice of a forgotten France — the 40% of citizens who refuse to keep paying the price for opaque and misguided energy decisions.

LES #GUEUX accuses the government of trying to pass this plan secretly in mid-summer, bypassing Parliament and public debate. The group demands:

 > An immediate halt to all decrees passed without consultation.

 > A national public debate.

 >The creation of an independent citizens’ commission to design a rational and fair energy strategy.

  And above all, Jean-Louis Butré (President of the FED), echoing the call already made by more than 60 Members of Parliament and even Interior Minister Bruno Retailleau, is demanding « an immediate moratorium on wind and solar subsidies, which they describe as economically devastating, climatically ineffective, and socially divisive. » 

As public anger rises, the movement warns that the government is taking a major political risk.

“Enough is enough. LES #GUEUX will not pay the price for energy policies that serve private lobbies instead of the public good.”

 Press contact:
Jean-Louis Butré
+33680993808
contact@environnementdurable.netLES#GUEUX
https://lesgueux.fr/petition-stop-ppe/

FEDERATION ENVIRONNEMENT DURABLE
https://environnementdurable.org/

 

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L’éolien rend fou : Puyrolland ou le village Babaorum qui valait 44 millions d’euros


Dans un article publié le 25 mai par le Parisien (1)  intitulé « Tous les coups sont permis :  un promoteur éolien réclame 44 millions d’euros à un village de Charente-Maritime », on découvre, stupéfaits, que la commune de Puyrolland (200 habitants) est visée par une assignation assortie d’une demande de dommages-intérêts délirante.

Nous voilà désormais à Puyrolland-Babaorum, village gaulois encerclé non par des légions romaines, mais par un illustre  avocat au Barreau de Paris,  Jean-François Copé, ancien Ministre Républicain, maire, et un promoteur éolien allemand tout-puissant. Et cette fois, pas de potion magique pour résister — seulement des assignations, des intimidations où selon le Parisien « tous les coups sont permis… » … et des millions.

Un nouveau seuil vient d’être franchi dans la farandole de l’absurde. La commune est attaquée pour avoir osé refuser une servitude de passage sur un chemin communal, permettant l’installation de sept aérogénérateurs géants dans un bocage déjà saturé. Et cette décision locale, prise semble-t-il en toute légitimité démocratique, pourrait lui coûter… 44 millions d’euros.

Sans préjuger du bien-fondé des arguments des parties, on croyait naïvement qu’une collectivité locale pouvait encore décider de l’usage de ses sentiers. Mais non. Le simple fait de dire « non merci » devient une faute à huit chiffres. Si l’air reste gratuit, le refus de le turbiner, lui, semble désormais facturé à prix d’or.

Avec un budget communal annuel estimé à 300 000 €, la somme réclamée équivaut à plus de 140 années de fonctionnement — soit près de 30 générations de maires qu’il faudrait mobiliser pour éponger une dette surgie d’un projet refusé. Il ne resterait plus qu’à vendre la mairie, l’école, les bancs publics… et peut-être même le clocher.


Puyrolland n’est pas qu’un point sur la carte. C’est devenu un symbole. Celui d’un petit village de la France rurale qu’on croyait oubliée, mais qui refuse de plier face aux coups de pales et aux pressions juridiques.


Quand l’argent souffle à 300 km/h, il déracine tout. Sauf, parfois, la dignité.

 Référence
1)https://www.leparisien.fr/charente-maritime-17/tous-les-coups-sont-permis-un-promoteur-eolien-reclame-44-millions-deuros-a-un-village-de-charente-maritime-25-05-2025-MKGKLEK5KZGJRDR7HW7AH6ZLOI.php 

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EOLIEN: 40  ÉLUS:  SÉNATEUR,  MAIRES, CONSEIL DÉPARTEMENTAL PRÉSENTS POUR DIRE NON et FETER LA VICTOIRE

VIENNE : Lathus-Saint-Rémy SUCCÈS TOTAL MANIFESTATION CONTRE LES ÉOLIENNES
Avec le soutien de la Fédération Environnement Durable Vienne  
 40  ÉLUS:  SÉNATEUR,  MAIRES, CONSEIL DÉPARTEMENTAL 
PRÉSENTS POUR DIRE NON et FETER LA VICTOIRE
 
Jean-Louis Butré
 
Vienne : sur le pont pour fêter leur victoire contre des éoliennes plus hautes que la tour Montparnasse à Lathus-Saint-Rémy

Rassemblement anti-éolien sur le pont de la Gartempe, à Lathus-Saint-Rémy, mardi 22 juillet 2025, pour célébrer une victoire contre quatre éoliennes dont deux de 240 m de haut.Rassemblement anti-éolien sur le pont de la Gartempe, à Lathus-Saint-Rémy, mardi 22 juillet 2025, pour célébrer une victoire contre quatre éoliennes dont deux de 240 m de haut.
© (Photo Atelier Octogone)Par Xavier ROCHE-BAYARDPublié le 22/07/2025 à 17:31mis à jour le 22/07/2025 à 17:38La municipalité de Lathus-Saint-Rémy a réuni 80 personnes sur le pont de la Gartempe près du Roc d’Enfer pour marquer sa victoire contre des éoliennes de 240 m de haut, les plus hautes de France.À nouveau sur le même pont de la Gartempe, mais cette fois-ci pour célébrer une victoire. Le 21 juin 2021, plus de 40 élus s’étaient réunis sur le pont de Chez Ragon, à Lathus-Saint-Rémy, pour affirmer leur opposition au projet de parc éolien des Bruyères, à l’époque : quatre éoliennes réparties sur Lathus-Saint-Rémy (2) et Plaisance (2), et l’encerclement du territoire communal par 42 éoliennes. Un drone avait immortalisé l’instant avec une photo aérienne.Pour Antoine Selosse, maire de Lathus-Saint-Rémy (à droite), « les vallées de la Gartempe et de la Vienne n’ont pas vocation à devenir des zones industrielles ».Pour Antoine Selosse, maire de Lathus-Saint-Rémy (à droite), « les vallées de la Gartempe et de la Vienne n’ont pas vocation à devenir des zones industrielles ».
© (Photo NR-CP, Xavier Roche-Bayard)Bis repetita. Quatre ans plus tard, mardi 22 juillet 2025, ils sont deux fois plus nombreux, environ 80, à se rassembler à nouveau : riverains, maires du Sud-Vienne, sénateur, vice-président du conseil départemental, élus de la Haute-Vienne, de Charente… Et là aussi, un drone photographie l’instant. Mais cette fois-ci, pour une victoire.Des éoliennes plus hautes que la tour MontparnasseAntoine Selosse, maire de Lathus-Saint-Rémy, et son conseil municipal avaient à cœur de communiquer sur le combat mené contre ce parc éolien. En quatre années, à l’image des eaux tumultueuses du Roc d’Enfer à proximité, la lutte des élus n’a pas été un long fleuve tranquille. « La cour administrative d’appel de Bordeaux a rendu un arrêt important : l’annulation pure et simple du projet éolien des Bruyères, explique Antoine Selosse. C’est la fin d’un combat. »La demande d’implanter quatre éoliennes de 200 m de haut par la société PE des Bruyères remonte à 2019. L’opposition citoyenne et politique est alors confortée par un projet d’arrêté de refus de la préfecture en 2022. Le promoteur trouve une alternative en modifiant le projet : « Deux éoliennes supprimées à Lathus-Saint-Rémy, mais les deux restantes à Plaisance rehaussées à 240 m, soit 80 m plus hautes que la tour Montparnasse. Mais de qui se moque-t-on ? Heureusement, la justice ne s’est pas laissée abuser », déclare Antoine Selosse.« Ici, la nature est un patrimoine, pas un marché ! »Il rappelle les 74 éoliennes déjà visibles dans un rayon de 20 km, mais aussi que les énergies renouvelables en Vienne, Gartempe et Civraisien représentent 51 % de la consommation d’énergie, pour une moyenne en France de 23 %. « Nous sommes 2,21 fois plus vertueux que la moyenne nationale. Nous avons déjà dépassé les objectifs européens pour 2030 fixés à 42,5 %. Nous avons cinq ans d’avance ! Notre territoire n’a donc aucune leçon à recevoir. Il est exemplaire. »Pour Antoine Selosse, « les vallées de la Gartempe et de la Vienne n’ont pas vocation à devenir des zones industrielles. Ici, la nature est un patrimoine, pas un marché ! »Les élus qui ont pris la parole derrière le pupitre installé sur le pont auront le même discours. « Notre territoire n’est pas à vendre, on se bat contre ceux qui veulent l’acheter », indique Gisèle Jean, vice-présidente de Vienne et Gartempe, rappelant « la stratégie (de la CCVG) menée à long terme » pour contrer l’essor des éoliennes. Elle reste vigilante car « l’éolien revient sous une autre forme, avec des extensions de parcs existants ».Pour Guillaume de Russé (conseil départemental), « trop, c’est trop », clame-t-il, prônant un « équilibre entre toutes les formes d’énergies », dont le nucléaire de Civaux. « Nous sommes déterminés à ce que l’on n’abîme pas la vallée de la Gartempe », mais « une bataille n’est jamais complètement gagnée », dit-il.Pour le sénateur Bruno Belin, soulignant « le patrimoine extraordinaire du Sud-Vienne », « les élus doivent décider et être respectés dans leur décision ».Des propos que le maire du Dorat, Bruno Schira, aimerait entendre dans son Limousin. Venu en voisin, en soutien, il déplore qu’« au Dorat, on est impacté par des éoliennes qui ne sont pas sur notre territoire communal. Nous en avons les retombées néfastes ». Il fait là référence à cinq éoliennes visibles depuis la collégiale de sa commune.
‍IMPORTANTVoici le flyer annonçant la manifestation sur le pont de la Gartempe à LATHUS SAINT REMY le 22 juillet prochain à partir de 9 heures 30. Merci à nos associations  de diffuser largement et de participer massivement.Cette manifestation est organisée par la mairie, qui avec les associations membres de notre fédération, a fait choir les plus grandes éoliennes de France ( 240 mètres ).Bien amicalementFédération Environnement Durable Vienne 
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Ces Normands ont dit non aux éoliennes, et ils ont gagné !

Ces Normands ont dit non aux éoliennes, et ils ont gagné !
‍Une petite victoire contre l’éolien peut en appeler bien d’autres, comme les petits ruisseaux font de grandes rivières.• Etienne Lombard  22 juillet 2025 
 
‍La vallée de l’Orne et de l’Odon, à une dizaine de kilomètres au sud-ouest de Caen (Calvados), menaçait d’être saccagée par l’implantation d’un vaste parc d’éoliennes géantes (plus de 200 mètres de hauteur). Mais le 18 juillet, l’opérateur, la société Neoen, a annoncé qu’il renonçait à son projet.S’achèvent ainsi, par une éclatante victoire, trois ans d’une âpre lutte menée par tout un territoire (habitants, agriculteurs, élus), fédéré au sein d’un collectif informel puis d’une association apolitique, Vigi Environnement Orne Odon.
Qui aurait parié, pourtant, sur les chances de ces quelques bonnes volontés issues du terroir local, contre le premier producteur indépendant français d’énergies renouvelables, mais aussi géant mondial présent dans quatorze pays et trois continents, avec quelque 200 sites en activité ?

Parfois pourtant, David défait GoliathAu printemps 2022, l’alerte était donnée par de premiers démarchages auprès de propriétaires de la commune de Fontenay-le-Marmion, où une consultation immédiate de la population débouche sur une participation de plus de 50 % des habitants, dont 92 % refusent l’installation d’éoliennes. Le mouvement est lancé et va rapidement faire tache d’huile. Le collectif informel qui fédère les premiers volontaires va trouver sur sa route Élisabeth Borne, alors Premier ministre, en visite sur le marché d’Aunay-sur-Odon. Elle se veut rassurante. « Il faut l’aval des habitants pour installer des éoliennes », affirme-t-elle, même si l’expérience tendrait plutôt à constater le contraire. Quand le conseil communautaire des vallées de l’Orne et de l’Odon s’empare de l’affaire, commande une étude puis lance une campagne d’information invitant à des débats publics, il s’avère que des éoliennes géantes pourraient être installées jusqu’à 500 mètres des habitations.
‍Shéma indiquant les différences de hauteur entre une éolienne, le Mont Saint Michel, le CHU de Caen, un pylône électrique et une maison.Le collectif Vigi Éolien Orne Odon est alors créé et commence un patient travail de porte-à-porte. Il se constituera en association, quelques mois plus tard, afin d’être plus efficace, de pouvoir notamment ester en justice et d’obtenir aide et conseils d’autres associations constituées.Méconnaissance et appât du gain

Joint par BV, Henri Texier, vice-président de la Fédération Environnement Durable et président de l’Association Belle Normandie Environnement qui a combattu le projet Neoen aux côtés de Vigi Éolien Orne Odon, explique que « comme toujours dans ce type de combat, il faut s’attaquer à deux grands obstacles : la méconnaissance quasi générale par les personnes concernées des projets éoliens et de leur impact concret, et l’appât du gain, qui incite nombre de propriétaires terriens (agriculteurs, bien souvent) à accepter de louer leur terrain sans même lire le contrat, et pousse certains élus locaux à soutenir les projets ». En trois ans, les militants anti-éoliens multiplient les visites chez les habitants et les propriétaires de terrains, les réunions publiques, les manifestations, recevant le soutien de personnalités comme Stéphane Bern ou André Bercoff.
Tout comme Stéphane Bern, André Bercoff est venu soutenir les opposants au projet éolien.Même si « la presse régionale relaie bien peu les opposants au projet, et notamment Ouest-France, dont la ligne est très pro-éoliennes », confie Henri Texier, Il faut informer, coûte que coûte, avant que les habitants ne regrettent d’avoir tardé à agir.

Les vices cachés des projets éoliensSi les habitants comprennent assez vite la gêne que procure, au quotidien, une éolienne plantée à quelques centaines de mètres, à peine, de leur habitation, les propriétaires signent souvent trop vite, car « ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’après les 20 à 25 ans de leur durée de vie, les éoliennes sont remplacées par de nouvelles, sur un emplacement voisin du même terrain ». Le propriétaire signe donc « un bail emphythéotique, dont le niveau de rémunération est très variable, et qui l’engage, ainsi que ses descendants, sur 60 voire 80 ans ». Par ailleurs, en théorie du moins, « une clause du contrat oblige l’exploitant à mettre une réserve dans une banque permettant de remettre en état la partie du terrain dont l’éolienne arrive en fin de vie ». Mais en réalité, « nous avons constaté que le montant de cette réserve est très inférieur au coût réel de remise en état. Et dans la plupart des cas, le promoteur obtient de la préfecture une dérogation lui permettant de laisser en place le socle en béton ».Il faut ajouter à cela le problème non résolu du stockage des pales, qui ne se recyclent pas, ce qui a conduit les exploitants de certains parcs à « laisser en place les anciennes éoliennes après en avoir installé des neuves à proximité ». Le renouvellement des premiers parcs éoliens français commençant tout juste, ces cas ingérables et litigieux vont donc mathématiquement se multiplier, promettant pour bientôt un gigantesque scandale écologique, que le ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, se gardait bien d’évoquer lorsqu’elle défendait devant les parlementaires l’objectif de doubler, à terme, un parc actuel de 10.518 éoliennes en opération, tel que recensé en janvier 2025 sur la base Open ReMap.La nouvelle de l’abandon du projet éolien Orne Odon, elle, commence déjà à faire le tour des réseaux sociaux

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French Mayors and Officials Signal National Rejection of Industrial Wind Power 

‍For immedaite Release
French Mayors and Officials Signal National Rejection of Industrial Wind Power 
Paris july 25 2025
 
‍LATHUS-SAINT-RÉMY, France, July 22 — In a powerful show of unity, over 40 elected officials—including mayors, councilors, and a senator—gathered Tuesday on a historic bridge in western France to celebrate the cancellation of a major wind turbine project. But the message went far beyond local victory. (1)The event, held in Lathus-Saint-Rémy (Vienne), marks a turning point in France’s wind energy debate: an increasingly coordinated revolt by institutional France—mayors, departmental leaders, regional planners—against what they call the “industrial colonisation” of rural landscapes.The protest follows the annulment of a project involving four turbines, including two towering 240 meters high—among the tallest ever planned in France. The Bordeaux administrative court ruled in favor of the municipality, after years of litigation and grassroots mobilization.“We’re not just celebrating a court ruling—we’re drawing a line,” said Mayor Antoine Selosse. “Elected officials across the country are standing up to protect their territories, their populations, and their democratic authority.”With more than 74 turbines already visible in the area, local representatives say enough is enough. “France’s rural heartland is being sacrificed without consent,” said Senator Bruno Belin. “This isn’t ecological transition—it’s democratic regression.”
Jean-Louis Butré, president of the French environmental group Fédération Environnement Durable, which backed the protest, stated: “This marks a major rupture. It’s an open, organized pushback by local institutions. Elected officials are saying no. Rural France is rising against the industrial takeover of its landscapes. The social acceptance of wind power is dead. »

Press contact 
Federation Environnement Durable 
+33680993808
contact@environnementdurable.net 

1) https://www.lanouvellerepublique.fr/centre-presse/vienne-sur-le-pont-pour-feter-leur-victoire-contre-des-eoliennes-plus-hautes-que-la-tour-montparnasse-a-lathus-saint-remy-1753198310 
‍‍Communiqué de presse
Paris: 23 juillet 2025 – Les  élus français marquent une rupture institutionnelle contre l’éolien industriel
LATHUS-SAINT-RÉMY (Vienne), 22 juillet – Plus de quarante élus, parmi lesquels un sénateur, des maires, des conseillers départementaux et régionaux, se sont rassemblés mardi sur le pont de la Gartempe, à Lathus-Saint-Rémy, pour célébrer l’annulation d’un projet d’éoliennes géantes. Le message est national : la résistance aux éoliennes industrielles gagne désormais les structures officielles de l’État.Le projet, porté depuis 2019, prévoyait quatre turbines dont deux culminant à 240 mètres – soit plus hautes que la tour Montparnasse. Le tribunal administratif d’appel de Bordeaux en a ordonné l’annulation, au terme de plusieurs années de mobilisation citoyenne et institutionnelle.« Nous ne fêtons pas seulement une décision de justice. Nous traçons une ligne rouge », a déclaré le maire Antoine Selosse. « Aujourd’hui, les élus prennent leurs responsabilités pour défendre leurs territoires, leurs habitants, et leur souveraineté démocratique. »Dans un rayon de 20 km, 74 éoliennes sont déjà en fonctionnement. Les élus dénoncent une saturation imposée sans concertation. « Trop, c’est trop », a déclaré Guillaume de Russé, élu départemental. 
« Nos campagnes ne sont pas des zones à vendre », a insisté la vice-présidente Gisèle Jean, vice-présidente de Vienne et Gartempe . « Ce territoire est exemplaire sur les objectifs climatiques. Il mérite le respect, pas l’industrialisation. »
Jean-Louis Butré, président de la Fédération Environnement Durable, qui a soutenu cette manifetation  conclut :
« Il s’agit d’une rupture majeure. C’est une contestation ouverte, assumée, portée par les institutions locales. Les élus disent non. La République des territoires se lève face à l’invasion industrielle de nos campagnes. L’acceptabilité sociale de l’éolien est morte.Cette mobilisation révèle une fracture profonde entre un monde rural abandonné et un pouvoir central, totalement déconnecté des réalités du terrain. C’est un refus désormais politique, territorial, et légitime. » 
contact 
Federation Environnement Durable 
0680993808
contact@environnementdurable.net 

1) https://www.lanouvellerepublique.fr/centre-presse/vienne-sur-le-pont-pour-feter-leur-victoire-contre-des-eoliennes-plus-hautes-que-la-tour-montparnasse-a-lathus-saint-remy-1753198310
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